A l’occasion des 9 ans de Free Mobile, la team RNC Mobile offre un mini shoot ’em up aux employés de l’opérateur. On apprécie le geste.

Certains s’en souviennent peut-être, à l’occasion de son anniversaire en 2018, Free Mobile a marqué le coup en publiant sur Twitter une petite vidéo inspirée, en mode retrogaming qui retrace l’historique de l’évolution des offres mobiles de l’opérateur de son lancement à aujourd’hui. La fameuse fusée Free Mobile était d’ailleurs au rendez-vous. En bas de l’écran défilaientalors les années et différents compteurs se remplissaient, Appels, SMS/MMS, data illimitée, roaming, etc.

Ce 10 janvier 2021, c’est au tour de notre partenaire RNC Mobile de célébrer les 9 ans de Free Mobile. D’abord avec un gâteau aux couleurs du trublion mais surtout avec la mise en ligne d’un jeu video se basant sur la vidéo de Free il y a deux ans.

Sans prétention, ce shoot ’em up destiné aux employés de l’opérateur, a visiblement été très bien reçu, Xavier Niel l’a même terminé. A vous de shooter tous les enrichissements qu’a connu le forfait mobile Free au cours de son existence.Ce jeu a été réalisé par @tomf1zz , jeune 3D artiste bordelais et développeur.

Canal+ protège bec et ongles ses marques déposées autour des mots “Planet” et “Planète”. Aux yeux de certains, cela pose problème en termes d’éthique, mais nuit également aux plus petites structures n’ayant pas les moyens de défendre leur propre marque.

Le monde des marques et son univers impitoyable. En 1999, Canal+ a déposé les “Planète” et “Planet” auprès de l’INPI (l’Institut National de la Propriété Intellectuelle). Le géant des médias a remis le couvert en 2011 avec le mot “Planète+”. Des termes dont le caractère générique pose d’ailleurs problème à d’autres entités voulant en faire usage.

Une surveillance accrue

“Le groupe audiovisuel français s’oppose régulièrement à ceux qui souhaitent faire usage dans leur nom d’un mot commun qui, par essence, n’appartient à personne et tout le monde à la fois”, dénonce en effet le collectif Notre Planète à tous dans une tribune publiée dans Marianne. Il accuse le groupe d’exercer “une surveillance aiguisée, afin de maintenir sa prédominance sur un mot qu’il est légitime d’estimer aussi inaliénable que ce qu’il désigne”, et les lois d’être en quelque sorte complices en permettant “à des grands groupes de privatiser des mots communs à des visées commerciales”.

Et de s’interroger sur la suite : “après la colonisation des espaces, est-on en train d’assister à celle des mots communs et donc celle des esprits, qui les font vivre et leur insufflent leur âme ?” Selon les signataires de la tribune, “en favorisant cette tendance, la justice ne ferait qu’attiser l’appétit des puissances, qui ne manqueront pas un jour de vouloir aller toujours plus loin”.

Un gouvernement qui doit intervenir

Or, la situation est en tout cas loin d’être anodine, selon le collectif notamment formé par Blue Green Planet, Hello Planet, Planète en commun, Save4planet.com ou Planète Zéro Déchet. Au-delà de la mise-main sur un terme désignant un bien commun, elle a des conséquences plus ou moins fâcheuses pour les structures disposant de peu de moyens humains et financiers pour se défendre.

Militant pour un “usage libre des mots”, le collectif se tourne donc vers le ministère de l’Économie, dont dépend l’INPI. Il souhaiterait que soit mis “un terme à l’appropriation des mots communs et garantir des arbitrages équitables et transparents pour tous”. À ses yeux, “les politiques et les lois doivent s’attacher à protéger les biens communs pour se mettre au service d’une communauté de destins”. Et de citer un vieux proverbe indien : “Celui qui croit posséder la terre ne repose-t-il pas un jour sous elle ?”.

Aficionados de Twitter, les opérateurs français postent plus vite que leur ombre sur le réseau social. Et les internautes leur rendent bien ! Entre humour, désespoir et parfois satisfaction, voici un zeste du meilleur et du pire des tweets qui ont déferlé sur l’oiseau bleu cette semaine. 

Les Cent-Jours … toute une histoire. Migrer vers l’offre la Delta+Pop, c’est développer une patience à toute épreuve chez les abonnés !

La Freebox Pop a essuyé de nombreuses critiques vendredi, lors de la première soirée de confinement. Privés de chaînes TV pendant environ 2 heures et parfois d’internet, les abonnés n’ont pas caché leur mécontentement sur l’oiseau bleu.

Pas de Koh Lanta pour certains et même une perte de connexion en supplément pour d’autres. Pendant la soirée, jusqu’à 1000 DSLAMs du FAI étaient injoignables en France, plusieurs régions ont été impactées. 

Mais il faut le dire, des abonnés surfent quant à eux tranquillement à vitesse grand v avec la Freebox Pop. La nouvelle box de Free est pratiquement au maximum de ses possibilités chez cet abonné, pas loin des 2,5 Gb/s sur un port en download et 700 Mbits/s en upload.

La vie d’un community manager n’est pas toujours rose. Sur twitter les échanges sont souvent fleuris lorsqu’un twittos rencontre un problème avec sa connexion. Le community manager de Free Mobile sur Twitter est connu pour répondre parfois avec un certain humour. Nous vous avons déjà rapporté plusieurs de ses interventions.

Cette fois-ci, à l’occasion de la Fête Des Père, le compte Twitter de Free découvre, avec malice et grâce à Interflora, qu’en fait il ne se faisait pas insulter quand on le traitait de FDP

Merci @Interflora pour ce décryptage, on comprends d’un coup vachement mieux les petits mots doux 🥰 pic.twitter.com/K0q2ZxiFLX

— Free (@free) 14 juin 2019

Aïe, aïe, aïe, ce conseiller RED by SFR doit revoir les bases des télécoms et surtout réviser les offres que propose l’opérateur. 

Comme le rapporte ce twittos, après avoir poliment refusé une proposition de la filiale de SFR, sa Freebox Révolution lui convenant amplement, et de blaguer sur la future box de Free, celui-ci a eu l’agréable mais fausse surprise de constater que la V7 est d’ores et déjà disponible chez RED « mais cela dépendra de la technologie à laquelle vous êtes éligible », dixit la Team. Il est inutile de préciser que cela est une erreur de l’ordre du non-sens ! La V7, de la famille Free, sortira d’ici la fin de l’année.

Mais les clients @REDbySFR sont déjà éligibles à la #Freebox v7 c’est bien connu 🤔🤦‍♂️ pic.twitter.com/YHv1F3o54Y

— New Compte (@RandomAleatoire) March 20, 2018

Insolite mais on ne peut plus vrai. Cette maman a confié son iPhone à son fils de deux ans, en multipliant les faux codes, il a bloqué le terminal pour 47 ans au grand dam de sa mère.

Le petit garçon regardait des vidéos éducatives lorsque le smartphone s’est verrouillé, il a alors tenté de le déverrouiller en essayant plusieurs mots de passe différents. Au bout de trois tentatives infructueuses l’iPhone se bloque pendant une minute. A chaque tentative suivante cette attente imposée par Apple (pour limiter les risques qu’une personne réussisse à accéder aux données d’un iPhone qui ne lui appartient pas en testant différents codes) augmente. Comme le précise iGen après plusieurs tentatives infructueuses et si l’iPhone s’éteint faute de batterie “il peut arriver que l’horloge interne se cale sur l’année « zéro », à savoir le 1er janvier 1970. Une fois rallumé et rechargé, le système de protection a pu se croire projeté en arrière dans le temps et il aura affiché ce délai surréaliste“.

Surprise, lorsque la mère vient récupérer son iPhone, il lui indiquait qu’il était bloqué et qu’elle devait attendre 25 millions de minutes, soit 47 ans, avant de pouvoir effectuer une nouvelle tentative de déverrouillage.

Selon l’assistance d’Apple, ce problème n’est pas nouveau, par contre la seule solution dans le cas de cette maman consiste à “effacer toutes les données du téléphone et le réinitialiser”. Si donc vous avez l’habitude de confier votre iPhone à votre enfant en le laissant sans surveillance, assurez-vous au moins de faire des sauvegardes régulières de vos données.

«On s’enroule dans mon premier tard le soir,

Rarement Xavier Niel se la tire,

Les espions en ont toujours une bonne,

Mon quatrième est aussi une quatrième.»

 

 

COUVERTURE

La vie d’un community manager n’est pas toujours rose. Sur twitter les échanges sont souvent fleuris lorsqu’un twittos rencontre un problème avec sa connexion. Il est parfois nécessaire de prendre un peu de recul et de jouer d’humour avant d’arriver à comprendre comment apporter son aide aux abonnés.

A plus forte raison lorsqu’un soucis de DNS ralentit voire rend impossible la connexion à certains sites en soirée. Espérons que Yanis ait réussi à trouver une solution à ses problèmes de connexion.

Alors, des volontaires pour offrir un verre avant à @LALIGNEFREE ?

Cela est déjà arrivé à beaucoup de monde, le soir où l’on attend son programme TV favori, la box bugue. Un scénario qu’ont connu cette semaine pas mal de Freenautes, même si le problème ne venait pas directement la box.

C’est cette situation très rageante qu’a voulu explorer de façon humoristique la chaîne YouTube Wooshes. Ils souhaitent regarder leur série préférée sur leur Fritbox, et là, c’est le drame…